• Chapitre 17 : La seconde fois (M)

    “Tharn !  Je t’ai dit d’arrêter !”

     

     

    “Frappe-moi. Si tu veux que j’arrête, frappe-moi.”

     

    La nuit est calme, les étoiles scintillent, la plupart des gens dorment. Le dortoir de Tharn et Type offre une scène différente, car à ce moment, la personne qui demande à arrêter a été entraînée dans un piège et est retenue. Deux lèvres picoraient constamment celles de l’autre homme et une main tient la partie qui ne devrait pas être tenue.

     

    "Tu crois que je n'oserai pas arrêter. Tharn, je te dis d'arrêter."

     

    La réprimande ne correspond pas aux actions du corps. La main de Type ne ressemble pas à celle qui est utilisée pour battre l'homme qui le tient, parce que Tharn est ivre et que ses mains pendent faiblement des deux côtés de ses hanches. De plus, il est toujours en train de toucher, Type ne peut pas repousser son corps et même espérer poursuivre.

     

    Il répond : "Je ne peux pas m'arrêter".

     

    En souplesse.

     

    Effort.

     

    Lorsque le bout de la langue léche le mamelon sombre, Type est prêt à s'éloigner de la langue offensante. Ses mains ne peuvent pas s'empêcher de saisir les épaules de l'autre homme et sa respiration devient rapide accompagnée du dur et profond gémissement enroué de besoin, la main de Tharn caresse un certain endroit de façon rythmée.

     

    "Et je sais que tu ne peux pas t'arrêter maintenant."

     

    La voix est si grave qu'on aurait dit que Type s’est mordu les dents, mais il est impossible de rejeter cette affirmation, son corps brûle comme un feu maintenant et la patience a atteint ses limites. À la dernière minute, à la dernière seconde, le corps de Type ne peut pas le supporter, mais la bouche est toujours en train d'insister sur le besoin de se calmer, alors quand Tharn suce à nouveau le liquide blanc sur le bout de son membre, Type perd finalement son calme.

     

    Deux mains retirent les vêtements de l'ivrogne, ouvrent la bouche fermée et acceptent la langue enthousiaste afin d'apaiser son désir. Tharn ouvre la fermeture éclair, sort son membre et le frotte contre celui de Type.

     

    En cet instant, ils sont bouche contre bouche, bite contre bite et se battent tel un jeu de baïonnette.

     

    "Oh ! Putain ah !"

     

    "C'est ça, ah, Type, c'est ça..." Continuant à se battre à la baïonnette, la sensation d'enivrement survient rapidement. De temps en temps, ils utilisent leurs mains pour relier leur front et leurs cheveux ensemble avec un léger frisson. Type est si heureux qu'il voudrait s'échapper vers ce royaume, personne ne voudrait s'arrêter. S'ils les arrêtaient maintenant, il vaudrait mieux les tuer.

     

    Uh huh.

     

    Puis, Tharn met rapidement sa langue dans la bouche de Type, il effectue un baiser profond, la salive coule de la bouche tandis que Type tente avec sa main de ne pas tomber des genoux de Tharn en sentant la température dans sa bouche. Il s'approche du rivage du rêve grâce aux frottements de leur membre chaud qui le rendent presque fou.

     

    Ah.

     

    "Oh ! Tharn... putain !" jure Type doucement parce qu'il le sent l’embrasser. La main de Tharn touche sa fesse et son majeur s'enfonce dans son trou de cul. Type sombre dans ce désir ardent parce qu'il sent qu'il ne pourra pas s'en empêcher après l'avoir touché. 

    Le membre de Type se redresse et rencontre le membre de l'autre homme, mais pense que si ça continue, il sera de nouveau pénétré.

     

    “Tharn, pousse-toi ! Tu... !” Et il sait que si ce rythme continue, il chavirera et éjaculera précocement, alors Type déplace sa main pour tenir l'épaule de Tharn. Les doigts de Tharn bougent ensemble à l'intérieur de lui et pressent étroitement Type avec une force rongeante qui rend presque impossible pour Tharn de former une pensée cohérente. Il ne se souvient pas des choses tristes qui se sont passées quand il était enfant. Il sait seulement maintenant que son visage semble très confortable. Dans un moment, tout son corps se sentira très à l'aise lorsque Tharn lui enfoncera sa bite dans le corps.

     

    "Ah..."

     

    Leur bouche se retrouve. Peu importe la position, ils ne peuvent pas voir leur visage. Non pas parce qu'il fait trop sombre, mais parce qu'ils sont tous les deux excités et que leurs bouches sont réticentes à se séparer. Le doigt de Tharn ère encore plus profondément à l'intérieur de Type, lui faisant tout oublier. Sa main saisit les deux membres et les frotte l'un contre l'autre.

     

    “Laisse-moi entrer, je n’en peux plus…” lui chuchote Tharn, mais avant que Type ne puisse répondre, le doigt de Tharn se retire et il le maintient vers le bas. Les seuls vêtements encore portés sont rapidement retirés. Le corps et l'esprit de Type sont prêts, quand la bouche autrefois narquoise a sucé son mamelon.

     

    C'est une punition dans sa forme la plus pure !

     

    "Ce n'est que du sexe !" lâche Type en se murmurant à lui-même. L'autre côté travaille dur pour forcer son cul à se relever, en essayant de faire entrer un objet chaud en lui et son instinct lui dit qu'il est certain de le maintenir.

     

    Fonce. Vas-y.

     

    "Oh ! Ah... Tharn, enfoiré !" crie et jure Type en étant essoufflé. Il ferme les yeux, sentant que cette chose brûlante le pénètre profondément. Type ne sait pas à quelle profondeur elle va mais la friction qu'elle crée dans la colonne vertébrale de Type lui donne une sensation incroyable. 

     

    "Ça fait mal, mais c'est terriblement exaltant." halète Type, sentant juste que cela va trop loin en lui et que pour l'arrêter, il vaudrait mieux prendre un couteau pour le blesser que le faire maintenant.

     

    "Ah... Tu... Tu me serres... Han... Putain, c'est bon !" Les gens ivres sont ivres et leur filtre cérébral ne fonctionne plus. La chaleur dans le corps de Type le fait presque fondre, en même temps, il continue à gémir.

     

    "Qui serre... Que... ah..." crie Type mais continue à serrer les muscles de ses fesses. Il sent la brûlure de la chaleur intense. Type tremble lorsqu’il touche le monde dans lequel il s’est dit qu'il n'entrerait plus jamais:

     

       Je me fous de ce putain de monde. Je me soucie juste de savoir à quel point le sexe me fait vibrer.

     

    Harrumphs... Harrumphs... Harrumphs...

     

    Type lève son cul et le descend en tenant fermement l'épaule de l'autre homme et en le plaquant vers le bas. À ce moment-là, une voix rauque est dans sa gorge. Il ne sait pas s'il est enflammé. Quelle importance ? 

    Pour finir, il est obligé de crier quand son point sensible est continuellement touché. Alors l'autre dit :

     

    “Laisse-moi faire...”  Tharn ne supporte pas non plus d'être taquiné comme ça. Il n’attend pas que l'autre côté réponde, ses deux mains saisissent les hanches de Type et le soulève. Quand il est relevé, il dit: 

     

    “Accroche-toi au lit.” 

    En d’autres circonstances, si cela s'était produit auparavant, Type l’aurait insulté, mais qui ferait ça maintenant ? Il ne peut pas se contrôler, alors il écoute. Il attrape alors le bord du lit et laisse son dos, entièrement dégagé,  à l'homme qui se tient derrière lui.

     

    Douleur et bonheur. C'est l'état dans lequel se trouve Type à ce moment-là. C'est exact.

     

    "Ah !" crie le garçon du Sud et aspire de l'air. Il sent un gros bâton chaud se connecter sans cesse avec lui. Deux mains tirent sur l'édredon sur le lit, tandis que l'autre coopère activement à toucher son membre pour apaiser le devant.

     

    Le rythme lourd dans lequel il se déplace, fait que les deux corps se synchronisent dans leurs mouvements...

     

    “Ah !” Type relève le genou sur le lit, ce qui fait que le gros membre qui le pénètre à l’arrière, s’enfonce plus profondément. Type tourne la tête en arrière pour accepter les chaleureux baisers d'affection de l'homme derrière lui. Leurs halètements peuvent réveiller les autres dortoirs.

     

    Mais les deux personnes qui se mouvent sont heureuses. Comment pourraient-ils se soucier des autres ? Ils sont plus bruyants qu’avant et la chaleur intense vibre dans toute la pièce.

     

    Crack.

     

    Celui qui essaye d’étouffer leurs cris, tressaille, il se sent venir puis éjacule dans un tremblement puissant en haletant avec délicatesse. Tout le désir accumulé depuis ces derniers jours est relâché sur le lit. L’homme ivre n’est pas encore venu. Type veut vraiment lui donner un coup de pied mais il attend patiemment qu’il ralentisse, jusqu’à ce que…

     

    “Ah… Hum… Hmmmm… Han…” Tharn se retire de son corps et se relâche enfin sur la taille, les fesses et le dos de Type. Type est tout de suite irrité par ce geste.

     

    Une fois les exercices à haute intensité terminés, Type s'allonge et halète. Il n’a pas la force de jurer sauf pour l’image de là tout de suite.

     

    “Huum... Huum... Tu dois nettoyer mes draps, espèce d’enfoiré !"

     

    "Attends Ah... Je vais t'en acheter un nouveau... C’est bon..." répond Tharn. 

     

    Si vous pensiez que le deuxième sexe sauvage était terminé et que les deux garçons n'attenderaient pas pour s’étriper, se retourneraient et se metteraient en colère l'un contre l'autre pendant un moment, ou s’empoigneraient et crieraient… Ce qui se passe vous choquerait ! 

    Vous avez tort, car après avoir éjaculé, Type va dans le lit du batteur et s'endort. L'ivrogne est toujours allongé par terre sous la promesse d'acheter de nouveaux draps.

     

    Alors hier soir, Type a dormi dans le lit de Tharn, Tharn a dormi dans le lit de Type et ils ont aussi dormis l'un avec l'autre.

     

    Les cris n'ont commencé que ce matin.

     

    "Sale enfoiré !"

     

    “Enfoiré, tu es réveillé maintenant ?!”

     

    Ce matin, Type comptait se lever du lit, mais l'horloge lui indique qu'il est presque 12 heures de l'après-midi. Mais l'autre personne dort encore comme un sourd. La première chose que Type fait, c'est jurer, il sent que son corps a été pénétré par ce truc, son humble passage lui fait mal comme un chien.

     

    Ce cri et le coup de l'oreiller ont réveillé l'homme ivre qui le regarde d’un air penaud et inquiet, il sent que ce qu'il a fait la nuit dernière était vraiment mal.

     

    Ce sentiment est un euphémisme, car il l'a fait avec tant de ferveur que d'enthousiasme. De toute façon, ça a été fait de manière brutale, il n'est donc pas surprenant de dire que Type ne pourrait pas se lever ce matin. 

     

    "Essaie pour moi alors, salaud ! Hiaa ! Sale chien ! Espèce de sale enfoiré ! Ne fais pas cette tête ! Ne me lance pas ce regard, qu'est-ce que ça changera ? Que voulais-tu dire par ce Ah... ? Mon cul est en bouillie !” Maintenant, le cerveau du type ne traite que la douleur dans cette affaire, bien qu'il ne se soit pas vanté avant.

     

    Pour finir, la personne qui s’est levée pour attaquer, se rallonge d’un coup.

     

    Le batteur a le sentiment d'avoir tout fait de travers.

     

    "Désolé, je ne m'en suis pas rendu compte hier soir."

     

    "Tu n'as pas à me faire d'excuses. Tu espérais ça, n'est-ce pas ?" L'intimidation verbale et la colère de l'homme rendent son interlocuteur stupéfait et, en même temps, il regarde celui qui parle avec pitié. Quand le sentiment lui vient, Tharn dit sérieusement : "Oui, je l’espérais... Mais je ne pensais pas avoir autant besoin de toi."

     

       Besoin de quoi ? !



    Type ne sait pas pourquoi deux personnes aiment s’attaquer mutuellement, mais Type est de nouveau en colère, alors il sert les dents fermement. 

    Quelle est cette étrange sensation qu'il ressent dans son cœur ? Oui, juste parce que l'autre lui dit qu'il a besoin de lui et qu’il  ne peut pas se mentir à lui-même,

    Un début passionné a eu lieu la nuit dernière et la question a été mise à rude épreuve parce qu'il a lui-même besoin de lui...

     

    Oui !

     

    Blâmez ce maudit désir sexuel, qui a dit à cette idiote d’entrejambe de se lever.

     

    OK

     

    "Ne me touche plus jamais", dit-il. 

     

    Il plaque sa main sur son front et fronce les sourcils ‘que veux-tu faire de lui’, il se torture la tête à répétition et il sent qu'il s'énerva facilement. Mais, Tharn ne bronche pas, parce que le métis revient s'agenouiller à son chevet et le repousse avec la main.

     

    Ce mouvement leur rappelle ce qui s'est passé la nuit dernière.

     

    "Je suis content que tu n'aies pas de fièvre." Le ton de Tharn est réconfortant, cela permet à l'homme qui refusait fortement de s'inquiéter pour lui, de se calmer. Mais, au bout d'un moment, Type redevient fidèle à lui-même.

     

    “Je t'ai dit, tu n'as pas à t'inquiéter pour moi. Je suis un garçon. Je ne vais pas mourir de quelque chose comme ça", dit-il.

     

    "Si je ne m'inquiètais pas pour ma femme, pour qui je m'inquiéterais ?"

     

    Quoi ? ‘Femme’ !!!

     

    Les yeux de l'homme qui  étaient grands ouverts. Il le fixe, d'accord, Type le dévisage avec ses grands yeux, en fixant l'homme qui se trouve devant lui. Puis la voix de l'homme qui regardait s'il avait de la fièvre crie avec gravité : "Je ne suis pas ta femme !"

     

    Tharn savait que Type ne l'accepterait pas, mais la dignité du Top qu’il est ne pouvait être mise à mal. Il est fasciné par le corps de Type et ils se moulent ensemble si parfaitement donc il dit calmement: "Mais tu continuais de gémir sous moi".

     

    Après avoir entendu cela, Type sera à nouveau les dents. Il fixe l'homme avec colère et sa voix est sévère : "Il n'y a que du sexe entre toi et moi, que du sexe... Tharn. Pas plus que cette relation, aucune mention ‘femme’,  d’amour ou de petits amis. Nous sommes deux personnes, seulement deux garçons qui couchent ensemble... C'est tout" Tharn regarde Type qui avait l’air sérieux. Type ne se berce pas d’illusion parce qu'il y a eu une deuxième fois maintenant et ensuite il y aura une troisième fois, une quatrième fois, même si c’était extrêmement bon, ils ne peuvent être rien de plus que des amis. C’est tout.

     

    C'était juste une chose dont il se rappellera, il a fait l'amour avec un garçon dans sa vie... C'est tout.

     

    Le refus de Type de céder fait soupirer profondément Tharn qui ne peut pas formuler de réponse. Il retourne à la table Japonaise puis prend la nourriture et retourne au lit de Type pour qu’il mange son petit-déjeuner.

     

    Oui, c'est l'heure du déjeuner, mais le premier repas reste le premier. On peut donc appeler cela le petit-déjeuner.

     

    "On en reparlera plus tard, je t'ai acheté du porridge. Tu as faim ?”

     

    Bien que Type aimerait le refuser, parce qu'il vient de dire qu’il ne serait que des amis sérieux, mais l'estomac qui gargouille n'est pas d'accord. Après tout, il n'a pas mangé hier soir. Il avait tellement faim qu'il s'assit même s’il avait la main sur la taille pour montrer qu’il était en colère.

     

    “Prends-le et prends aussi les médicaments.” Malgré les mots de Type, Tharn semble vouloir prendre soin de lui alors il accepte sa gentillesse.

     

    Si les médicaments fonctionnent, il n'a pas besoin d'être malade.

     

       Attendez une minute ? Des médicaments !

     

    L'homme qui s'apprêtait à mettre le porridge dans sa bouche s'arrête et se retourne vers celui qui lui apporte le médicament, fronçant les sourcils devant le sang-mêlés.

     

    "Quoi ?"

     

    "As-tu une maladie, Tharn ?"

     

    Prendre un médicament se fait quand on est malade. Quand il y pense, il se remémore soudainement ce qu’il s’est passé ?  Son cœur était rempli d'inquiétude.

     

    Il ne s'en est pas rendu compte la nuit dernière. Maintenant, il avait repris ses esprits. Il se souvient encore que Tharn n’en avait pas mis ! (*ndlt: il parle de préservatif)

     

    Réalisé.

     

    Il ne savait pas quoi faire en posant la question à Tharn. Ce dernier voyait qu’il était très inquiet.

     

    Il secoue la tête en lui répondant,

     

    “Je n’en ai pas.”

     

    “Je ne te crois pas !” Celui à la bouche sévère était presque en train de danser maintenant, il agite la cuillère en main.

     

    "Combien de personnes as-tu eu ? Si tu es malade, je te suivrai dans ce désastre !" Si Type avait la force maintenant, il l'aurait démoli.

     

    L'année dernière, Tharn a souffert de ce problème, mais il continue :

     

    "Je n'ai trompé personne... Écoute-moi, Type, quand je suis avec quelqu'un, je suis très sérieux, avec chacun d’entre eux et je m'assure qu'il ne sort avec personne..."

     

       N'importe quoi ! Et qui a dit que je n'aime pas ce que tu as dit afin de mépriser mon prédécesseur,

     

    "Tu peux te rassurer, tu sais aussi que tout le monde doit passer un examen physique pour voir s'il souffre d'une maladie grave ? Je suis arrivé à l'université après le lycée. Ce n'est pas différent de toi et... Non, depuis que je suis en première année, je ne l'ai fait qu'avec toi."

     

    La réponse était claire et parfaite, mais Type secoua la tête.

     

    "Je n'y crois pas. Je dois le voir de mes propres yeux." Type lâche la cuillère, commence à se lever et se prépare pour aller prendre un bain.

     

    "Où vas-tu ?" demande Tharn, en regardant Type prendre ses vêtements.

     

    "À l'hôpital... Tu dois venir te faire examiner.”

     

    Type réponds fermement, Tharn fronce les sourcils, insatisfait d'être considéré comme porteur d'une maladie horrible, il n'arrive pas à y croire mais après s'être calmé il dit,

     

    "Alors tu dois te faire tester avec moi."

     

    "Pourquoi dois-je le faire ?"

     

    Tharn répondit immédiatement : " Tu n'es pas sûr de ce que j'ai fait, de toute façon... Tu es le seul à vouloir vérifier. Si ce n'est pas que je suis malade, c'est que si tu l’es !” Cette fois, c'était une réponse merveilleuse. Celui qui écoutait s'est arrêté, s'est retourné et le regarde.

     

    Il dit :

     

    "Alors je vais me faire tester... Satisfait ?" Après cela, Tharn sourit avec suffisance en secouant la tête et regarde le dos de l'homme qui quitte le dortoir.

     

    Le coin de ses lèvres se soulève encore un peu.

     

    Pourquoi a-t-il l'impression qu'il va passer des examens de santé avant de se marier ?

     

    Cette idée lui donne le besoin d'être de plus en plus “sans maladie” tant qu'il peut permettre à Type de se calmer, cette petite chose n'est rien, car il est certain que Type peut faire confiance au fait que Tharn n'a personne d'autre que lui.

     

    Bien qu'il ait dit qu'il était un sexfriend... En fait, Tharn ne voulait pas que cette chose entre eux finisse uniquement par “amis”.

     

    Après avoir pris cette décision, maintenant, deux garçons (ils n'ont pas osé porter le logo de leur université) étaient assis et attendaient les résultats de l'examen. Tharn réfléchit à cette petite maladie et le fait qu'il ait un petit rhume ne vaut pas la peine de s'inquiéter, mais l'homme à côté de lui, qui fait les cent pas et a l'air pâle, semble très impatient. C'est vraiment immature.

     

    "Ah !" Tharn soupire, même s'il sait que c'est enfantin, au moins il sait qu'il en est affecté. Lui est différent, alors il se rappelle qu’il doit toujours avoir ce qu’il faut sous la main, mais il était ivre hier soir…

     

    "Pourquoi diable soupires-tu ? Oh mon Dieu, tu sais que tu es malade." Ce problème amène Tharn à soupirer à nouveau. Type le rend toujours furieux. A ce moment, il se demandait si c'était le même homme qu'il avait embrassé. Tharn ne pouvait que dire :

     

    "Tu n'as pas besoin d'y penser, si ? Tous les hommes gays ne sont pas comme tu le penses."

     

    "Oh, tu as couché avec moi." Type parle à voix basse, de peur d'être entendu, Tharn secoue la tête.

     

    "Je suis absolument certain que je ne suis pas un prostitué. J'ai couché avec toi parce que..." Le batteur se retourne pour le regarder et il dit avec beaucoup de sérieux : "Je suis sûr que je t'aime bien, c'est pour ça que j'ai couché avec toi et non pas juste pour satisfaire un désir ou un besoin comme tu le penses."

     

    Sa voix était très sérieuse. Ce n'est pas comme s’il plaisantait avec son interlocuteur silencieux. Il le regarde dans les yeux pour comprendre ses pensées, mais en un clin d'œil, Type se retourne et regarde ailleurs. Il ne parlait pas. Juste au moment où l'infirmière appelle son nom, il se lève et se dirige vers le résultat.

     

    Tharn fut également appelé et entra dans une autre pièce.

     

    "Ne vous inquiétez pas, vous n'avez pas de maladie grave... Le médecin que je suis est très heureux que des jeunes comme vous accordent de l'importance à ces questions et ne se soucient pas de la honte. Ce devrait être une priorité de le faire de manière répétée". Tharn qui s'attendait à cette réponse sourit, dit merci et sortit ensuite de la salle de consultation pour chercher l'homme au visage pâle et tendu.

     

    Le visage de l'homme en question fit lever les sourcils de Tharn.

     

    "Ça va ?” lui demande Tharn après l'avoir observé d’un regard inquiet.

     

    “Ce maudit docteur m'a demandé si j'avais déjà fait quelque chose avec un garçon. Ha, se mêler de ma vie privée, il aurait simplement dû me donner mes résultats !" Quel que soit l'endroit où ils se trouvent, ceux qui ont des préjugés ont des inquiétudes aussi minimes que les leurs. Type s’écarte et se met sur le côté faisant soupirer Tharn.

     

    "La raison pour laquelle le médecin a demandé, c'est parce qu'il veut comprendre la situation. C’est son métier. Tu dois répondre".

     

    "Comprendre la situation, c'est des conneries. Il m'a regardé et s'est énervé parce que je voulais le frapper." En fait, Tharn ne veut pas lui dire à quoi il ressemble en marchant. Qui ne ferait pas de suppositions en voyant qu’il traîne ses jambes tremblantes, que son visage est pâle et maladif. Le médecin lui a demandé quand il avait vu son état. Vu qu’il ne veut pas le lui dire, il change de sujet : "Et le résultat ?"

     

    “Tu crois que je suis malade ? Je suis clean." Le ton était un peu provocateur.

     

    Tharn sourit et dit : "Moi aussi, je suis clean. Tu peux être rassuré.”

     

    La réponse permet à Type de respirer : "Ok, je peux être certain que j'ai perdu beaucoup de temps juste pour ces maladies..."

     

    "Ha ha..."

     

    "Qu'est-ce qui te fait rire ? !" Lorsque la colère retomba, l’estomac de l'homme qui n’avait mangé que deux cuillères de porridge gargouilla bruyamment jusqu'à ce que Tharn se lève, puis sourit en disant que la faim devait être comblée. Tharn trouve que ce rougissement timide de l'homme à la peau sombre est mignon. Tout en le pensant, il sourit. Tharn dû se racler la gorge immédiatement. Il toussa, se leva et ravala son rire.

     

    "Ce sera désagréable jusqu'à ce que tu manges. J'ai faim. Allons dîner maintenant." Le batteur parlait et tenait les épaules de l'autre homme avec ses mains, mais la personne qui a été attrapée se penche et ne se laisse pas être tenue..

     

    "Ne m'aide pas", la personne qui ne veut pas parler de son estomac grognon veut marcher tout seul. Il passe devant et continue son chemin. Tharn le suit comme un éléphant, puis il pose une question et parle de choses sans importance.

     

    "Alors, en conséquence, toi et moi..." Type le regarde avec les yeux grands ouverts, il semble vouloir réfléchir, mais au moins il n'est pas dans le déni car il dit.

     

    "Juste du sexe." Tharn sourit.

     

    Heureusement, Type ne dit pas qu'ils ne le referont pas. Ce qui veut dire qu'il aura plus de chances, Tharn veut aussi que cette personne qui déteste les gays l'aime le plus possible.

     

    Maintenant, leur histoire ne fait que commencer.

     

    Ils ne savent pas comment les jeunes infirmières les voient. Le regard qu'elles leur lancent est : des jeunes de 18-19 ans sont allés ensemble à l'hôpital pour passer un examen physique. L'un d'eux semble pâle, qui aurait pu penser à autre chose que...

     

    "C'est dommage qu'ils soient tous les deux beaux."

     

    "Mais ils forment aussi un couple sérieux. Ils sont même venus à l'hôpital pour être examinés ensemble afin de vérifier leur état de santé."

     

    Les infirmières ont murmuré ceci et cela... même si elles avaient mal interprété la situation actuelle, elles auront en fait raison à l'avenir... Qui sait ?


    ***

    Ndlt : j’ai souffert pour traduire ce chapitre !!  La traduction anglaise était très mauvaise. Sorry d’avance si certains passages ne sont pas clairs, j’ai fait de mon mieux pour le traduire de manière à ce que tout le monde comprenne tout et que cela soit logique. Je crois que les autres chapitres anglais ne sont pas aussi mauvais haha.

     


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